NOTAS DE PRENSA

– “They were having fun. The audience was having fun. What more is needed for an enjoyable concert? The venue was the large concert hall of Tivoli-Vredenburg and its sound-system did not play up. So like last year, the duo Ranganathan – Granero gave an enjoyable concert.

Laura Granero played fortepiano and it was a fortepiano with an impressive sound. Ajay Ranganathan played the violin. Together they played sonatas composed for violin and forte piano.”

Katevents. September 1st, 2016

Las versiones de Granero fueron todo delicadeza y sentido de la cantabilidad (maravillosa versión del Claro de luna), pero también de sentido del ritmo, como en las bagatelas de Beethoven, con estupendas síncopas y muy acentuados mordentes y acciacaturas.

                                                                                                                                                 Andrés Mengíbar,  8 de mayo 2019

Wagner on the piano: you can do it, there are many arrangements of the opera scores, but the only true Wagner is, let’s face it, the original Wagner, because a piano can never replace a colourful orchestra. This is true even of the arrangements that Franz Liszt made of his son-in-law’s works.
However, one can also judge the matter differently – but only if experts are at work. Laura Granero is such an expert. When she plays two numbers from Liszt’s extensive catalogue of works with “after Wagner” written on them, something new emerges: music that does not allow the author to be forgotten, but at the same time presents an original piece that makes the question of the original unimportant. This is true at this outstanding lunchtime concert even where she brings a transcription that closely follows Richard Wagner’s musical text: Isolden’s Liebestod becomes under her hands a symphonic poem of its very own character. After Liszt’s introductory bars, she starts the movement quickly, but what one hears then is fine, nuanced, especially precious in the pianissimo. The music lives under her hands as if it had always been set for the piano (and isn’t it?), she develops the sequenced material of the double beat that prepares for Isolde’s final transfiguration, not as a possible imitation of the orchestral sound, but as the autonomous playing of a soloist who herself makes you forget the fact that Liszt used someone else’s work to realise his sonic vision of a metaphysically effective work.

                                                                                                                                 Frank Piontek, Bayreuther Redakteur. 21st August 2021

“El concierto se hacía, tal como era su encabezamiento, en tres teclados. Un clavecín, que era una copia moderna de un instrumento histórico, un fortepiano original de 1810, y un piano moderno, que es el instrumento que piden a gritos las sonatas tripartitas de López. Los tres instrumentos los tocaban dos estupendos músicos. Laura Granero se responsabilizaba del clave y el fortepiano mostrando a una intérprete bien formada, conocedora, y con la musicalidad de una artista verdadera.”

                                                                                                                                                                   Tomás Marco, Scherzo. 28 de octubre 2021 

UNDER CONSTRUCTION!!!
More reviews coming soon

– “Participer aux ateliers de Royaumont donne également la possibilité de créer des liens avec les autres participants et de participer à d’autres projets organisés par la Fondation.

Il y a quelques années, les jeunes pianofortistes Laura Fernández-Granero et Ajay Ranganathan se sont rencontrés à une formation ; ils ont constitué un duo professionnel qui ensuite a été sélectionné au Festival de Bruges avant d’être invité à “La Seine musicale” de l’île Seguin en juin 2017 dans le cadre du festival Mozart maximum. “J’aimerais que toutes les formations aboutissent à ça !” nous confie encore Sylvie Brély.”

Cinzia Rota. January 1st, 2017

« Pianos romantiques » à Royaumont : entre authenticité et bel canto

“Dans le cadre du week-end dédié aux pianos romantiques, le Festival de Royaumont propose un programme de musique autour de trois pianos d’époque issus de la collection Edwin Beunk


« Qu’entends-je !… un piano
Vient encore frapper mon oreille !…
Quel est cet Amphyon nouveau
Qui va de merveille en merveille ?…
C’est le célèbre Bomtempo,
Du moins favorable instrument
Que les arts avaient fait naître,
Il tire un charme ravissant ;…
Et ses succès nous font connoître
Que tout cède au vœu du talent… »

 

Depuis 2010 la Fondation Royaumont s’intéresse aux pianos anciens et à l’interprétation historiquement informée, en organisant des formations professionnelles, des ateliers de recherche, des tables rondes et des colloques internationaux, dans le sillage de la démarche baroque.
Ce projet a pu évoluer grâce à la rencontre avec le collectionneur néerlandais Edwin Beunk, qui possède des instruments allant de 1780 à 1870, et qui, depuis 1981, les préserve et entretient de manière authentique.
Organiser des concerts sur des instruments historiques a plusieurs avantages : d’un côté cela permet au public de se plonger dans une vraie atmosphère de concert de salon de l’époque, de l’autre c’est l’occasion pour de jeunes pianistes de réfléchir à une autre manière de jouer et à un autre répertoire. C’est aussi l’opportunité d’explorer un nouvel univers musical, fait de sonorités et nuances inattendues, hors des sentiers battus.
La jeune génération semble adhérer à la démarche de la Fondation Royaumont, qui, depuis le début du programme, a vu 90 pianistes formés dans les meilleurs conservatoires et écoles du monde, venir ici pour travailler sur les instruments anciens.

Paris-Londres : nouvelles capitales du Piano ?

Londres 1820. Le premier concert de ce dimanche au réfectoire des convers a permis la découverte du compositeur portugais João Domingos Bomtempo et de l’italien Muzio Clementi, son confrère et ami, qui publia une grande partie de ses œuvres.

L’interprétation très contemplative de la part de la jeune artiste Laura Fernandéz Granero mène le public dans un salon au début du XIXe siècle, grâce aussi au charme du piano Broadwood & Son (fabriqué à Londres en 1807 et comprenant 5 octaves ½) qui produit une sonorité intime, presque vulnérable, dont on savoure les moindres détails. Notons que la pianiste a suivi des ateliers de formation depuis 2014 à Royaumont, entre autres, auprès de Edoardo Torbianelli, Ulrich Messthaler et Jeanne Roudet.”

Marine Park – Dufour. October 16th 2017

“Recital absolutamente mágico, com repertório de João Domingos Bomtempo, Muzio Clementi e, como extras, Domenico Scarlatti e John Field.”

João Chambers, October 28th 2017